Histoire de la famille

L’histoire de l’actuel Château du Cros commence par une date clé : le 15 décembre 1917, date de l’achat à M. le Comte de la Chassaigne par François Thévenot. Le comte n’avait pas su anticiper le développement des céréales dans la Beauce qui allait faire baisser le prix du blé de façon importante et qui était cultivé sur le plateau du Château du Cros. Il n’avait pas non plus pensé que le départ des hommes à la guerre allait rendre difficile la culture de la vigne à la main sur le coteau. Il se trouvait donc en difficultés financières et était contraint de vendre.

Le vendeur M. Le Comte de la Chassaigne n’avait pas su anticiper le développement des céréales dans la Beauce qui allait faire baisser le prix du blé de façon importante et qui était cultivé sur le plateau du Château du Cros. Il n’avait pas non plus pensé que le départ des hommes à la guerre allait rendre difficile la culture de la vigne à la main sur le coteau. Il se trouvait donc en difficultés financières et était contraint de vendre.

M. François Thévenot avait rencontré Adrienne Larousse qui était originaire de Bordeaux et dont la famille possédait une maison de campagne à Loupiac. Amoureux de ces terres, il a ainsi l’idée d’acquérir le Château du Cros qui était à vendre.

 « …DES VIGNES PRESQUE CENTENAIRES »

François Thévenot était entrepreneur de travaux publics et il n’hésita pas à arracher le reste du vignoble existant sur le coteau et à replanter en vignes le plateau. Cette replantation fut réalisée entre 1920 et 1940. Cet ancien vignoble existe toujours et produit les meilleurs vins du Château du Cros avec des vignes presque centenaires.

Mr François Thévenot avait rencontré Adrienne Larousse qui était originaire de Bordeaux et dont la famille possédait une maison de campagne à Loupiac. Amoureux de ces terres, il a ainsi l’idée d’acquérir le Château du Cros qui était à vendre.

 « …DES VIGNES PRESQUE CENTENAIRES »

François Thévenot était entrepreneur de travaux publics et il n’hésita pas à arracher le reste du vignoble existant sur le coteau et à replanter en vignes le plateau. Cette replantation fut réalisée entre 1920 et 1940. Cet ancien vignoble existe toujours et produit les meilleurs vins du Château du Cros avec des vignes presque centenaires.

Mr François Thévenot avait rencontré Adrienne Larousse qui était originaire de Bordeaux et dont la famille possédait une maison de campagne à Loupiac. Amoureux de ces terres, il a ainsi l’idée d’acquérir le Château du Cros qui était à vendre.

 « …DES VIGNES PRESQUE CENTENAIRES »

François Thévenot était entrepreneur de travaux publics et il n’hésita pas à arracher le reste du vignoble existant sur le coteau et à replanter en vignes le plateau. Cette replantation fut réalisée entre 1920 et 1940. Cet ancien vignoble existe toujours et produit les meilleurs vins du Château du Cros avec des vignes presque centenaires.

Par la suite, Yvonne, fille de François et Adrienne Thévenot rencontre Georges Boyer qui avait une formation d’ingénieur et construisait avec son père des ouvrages en charpentes métalliques. On doit notamment à la famille Boyer la construction métallique type «Eiffel» de la gare de Bordeaux. Georges Boyer a combattu durant les 2 guerres, il a même été fait prisonnier en Allemagne et libéré en 1943. Revenu au Château du Cros, il s’est alors occupé de la propriété qu’il a acquise suite aux problèmes financiers de son beau-père François Thévenot.

Le fils d’Yvonne et de Georges Boyer, Michel, se forme à l’école d’ingénieur agricole d’Angers de 1954 à 1958. Il se marie avec Françoise Moulière en 1958. Françoise est issue d’une famille Bretonne de pêcherie de sardines à Douarnenez. Michel participe aux opérations de maintien de l’ordre en Algérie dans la marine. En 1960 de retour au Cros, il laisse son père Georges s’occuper du vignoble et débute une activité d’exploitation de vergers le long de la Garonne : pêches, poiriers puis pommiers, kiwis et cerises successivement.

Par la suite, Yvonne, fille de François et Adrienne Thévenot rencontre Georges Boyer qui avait une formation d’ingénieur et construisait avec son père des ouvrages en charpentes métalliques. On doit notamment à la famille Boyer la construction métallique type «Eiffel» de la gare de Bordeaux. Georges Boyer a combattu durant les 2 guerres, il a même été fait prisonnier en Allemagne et libéré en 1943. Revenu au Château du Cros, il s’est alors occupé de la propriété qu’il a acquise suite aux problèmes financiers de son beau-père François Thévenot.

Le fils d’Yvonne et de Georges Boyer, Michel, se forme à l’école d’ingénieur agricole d’Angers de 1954 à 1958. Il se marie avec Françoise Moulière en 1958. Françoise est issue d’une famille Bretonne de pêcherie de sardines à Douarnenez. Michel participe aux opérations de maintien de l’ordre en Algérie dans la marine. En 1960 de retour au Cros, il laisse son père Georges s’occuper du vignoble et débute une activité d’exploitation de vergers le long de la rivière Garonne: pêches, poiriers puis pommiers, kiwis et cerises successivement.

Par la suite, Yvonne, fille de François et Adrienne Thévenot rencontre Georges Boyer qui avait une formation d’ingénieur et construisait avec son père des ouvrages en charpentes métalliques. On doit notamment à la famille Boyer la construction métallique type «Eiffel» de la gare de Bordeaux. Georges Boyer a combattu durant les 2 guerres, il a même été fait prisonnier en Allemagne et libéré en 1943. Revenu au Château du Cros, il s’est alors occupé de la propriété qu’il a acquise suite aux problèmes financiers de son beau-père François Thévenot.

Le fils d’Yvonne et de Georges Boyer, Michel, se forme à l’école d’ingénieur agricole d’Angers de 1954 à 1958. Il se marie avec Françoise Moulière en 1958. Françoise est issue d’une famille Bretonne de pêcherie de sardines à Douarnenez. Michel participe aux opérations de maintien de l’ordre en Algérie dans la marine. En 1960 de retour au Cros, il laisse son père Georges s’occuper du vignoble et débute une activité d’exploitation de vergers le long de la rivière Garonne: pêches, poiriers puis pommiers, kiwis et cerises successivement.

En 1967, Georges Boyer décède et Michel reprend les vignobles. Il entreprend des travaux de replantations sur le plateau et achète d’autres vignobles pour diversifier l’offre du Château du Cros.

En 2004, Catherine prend la direction des vignobles et donne une dimension internationale au Château du Cros. Elle insuffle une nouvelle dynamique avec le développement de l’œnotourisme et les accords mets vins. En 2006, elle arrête les vergers et démarre la production de maïs.

En 1967, Georges Boyer décède et Michel reprend les vignobles. Michel entreprend des travaux de replantations sur le plateau et achète d’autres vignobles pour diversifier l’offre du Château du Cros.

En 2004, Catherine prend la direction des vignobles et donne une dimension internationale au Château du Cros. Elle insuffle une nouvelle dynamique avec le développement de l’oenotourisme et les accords mets vins. En 2006, elle arrête les vergers et démarre la production de maïs.

En 1967, Georges Boyer décède et Michel reprend les vignobles. Michel entreprend des travaux de replantations sur le plateau et achète d’autres vignobles pour diversifier l’offre du Château du Cros.

En 2004, Catherine prend la direction des vignobles et donne une dimension internationale au Château du Cros. Elle insuffle une nouvelle dynamique avec le développement de l’oenotourisme et les accords mets vins. En 2006, elle arrête les vergers et démarre la production de maïs.